21.7.13

Ces Nouveaux Blogueurs qui parlent comme à WeshLand

Faisant inopinément un petit tour de la blogosphère, espérant trouver un bijou de vocabulaire et de répartie, ou du moins juste de quoi occuper mon triste début de dimanche, j'ai ouvert les yeux sur un nouveau problème de société.

La génération Y nous rattrape. Mais alors là c'est violent. Il y a comme un petit souci de comprenette entre eux et moi si vous voyez ce que je veux dire.

Faut croire qu'à partir de 1990, tous les enfants qui sont nés ont loupé la case "Français" à l'école. 

Attends. Quand tu te balades de ligne en ligne, (et pourtant, la fonte pourrait être intéressante) et que tu lis désespérément des mots comme : 

  • Wesh
  • Daron
  • Keumé
  • meuf
  • bonne
  • meuf bonne (ces deux là sont particulièrement récurrents)
  • des verbes atrophiés (déblater? manque pas quelque chose là ?)
  • des fautes fabuleuses (ce qui pourisse mon blog allé vous faire enculay)
Il y a comme un petit souci de base là. Je sais pas. Quand tu écris au grand jour, essaies au moins de le faire bien ! Le peu d'exemples démontrés plus haut fait halluciner mon correcteur orthographique automatique pourtant fort peu fiable. Enfin chay pa mwa mé fo fèr kkch la paske sa va pa l'fair !

Yark. J'arriverais jamais à comprendre cette déviation généralisée de notre langue pourtant respectée par nos voisins et les plus loin. On ne manque certainement pas de mots ni de synonymes alors pourquoi tout massacrer avec des mots à l'envers, puis le revers de l'envers, ou encore des mots tellement hideux phonétiquement qu'on penserais un mix entre de l'allemand et de l'hébreu ?

(ATTENTION : // Je ne critique ni l'une ni l'autre de ses langues, c'est juste pour imager mes propos )

De plus, quand toi, lecteur anonyme, tu tentes de comprendre, de lire, de réagir à un tel article, se pourrait il que tu mettes 3 fois plus de temps à DÉCHIFFRER les phrases ? Parce qu'honnêtement pour moi, c'est le cas. Comme quand tu lis de l'italien, faut lire à voix haute pour être sûr d'avoir compris comme il fallait.

La nouvelle génération de blogueurs est vulgaire, illettrée, inculte et pourtant tellement dynamique et virale. 
C'est pourtant pas compliqué : Si toi pas savoir écrire, toi pas écrire. si toi talent d'orateur tout de même, toi parler ou chanter mais toi partir le plus loin possible du papier ! 

Comment un tel changement a t'il pu opérer si vite ? J'ai l'impression d'être l'extrême extrémité de la génération X, là ou encore nous avions un minimum d'éducation linguistique. 
Quand je parle avec des gens qui ont a peine deux ans de moins, plus personne ne comprend les mots utilisés avec plus de deux syllabes (et même moins la plupart du temps). Du coup c'est à toi, vocabularisé, de placer ton décodeur devant ta bouche, en mode mégaphone : 
"Bonjour, jeune homme = Wesh Gros !"
"Restons chastes dans ce monde de pervers libidineux = Restes puceau t'as vu, ya trop d'gros dégueu mec !"
"Je suis navrée, mon verre a chu sans que ne puisse le retenir = Vasylààà j'ai pété mon whisky j'suis trop un boloss !"

Pour simplifier. Ca sent le vécu hein ? Oui, c'est du vécu.

Ô, aberration. C'est fini, terminé, sans espoir. La langue française évolue si vite qu'incessamment sous peu les générations ne pourront plus communiquer entre elles et que certains d'entre nous ayant des facultés linguistiques innées devront faire des études pour devenir traducteur compétent non plus franco-japonais mais francoX-francoY voire francoZ.

Votre toute dévouée atterrée.

19.7.13

J'ai testé pour vous : Être la femme de l'ombre. Petit article explicatif du pourquoi et du comment de l'infidélité dans le couple.

Aaaah, l'infidélité, quel beau sujet plein de choses à dire, plein de personnes malheureuses ou encore d'interactions humaines parfaitement immorales et sales. 

Ok, ça, c'était le point de vue religieux-coincé-fleur-bleue de pas mal de gens. 
Sauf que quand on sait qu'il y a tellement de gens qui ont été, qui ont ou qui ont aidé à tromper, ben tu te dis que finalement on a un pourcentage assez élevé de la population qui, par déduction, doit mentir sur son point de vue.

J'aurais presque envie de vous dire, chers petits lecteurs et lectrices, que l'infidélité change totalement de reflet quand tu changes de point de vue sur la question, et de place dans le trio d'infidélité (et trio est un minimum).
Car nous sommes bien d'accord : pour être un couple, il faut être deux ; et pour être infidèle / trompé / homme-femme de l'ombre, il faut être trois, ou plus. 

Dans l'idée générale, de ces trois personnes, il y a trois opinions à la fois liées et distinctes.

L'homme infidèle est un queutard insensible et irrespectueux, un vil salopard qui ne vit que pour briser des coeurs, mentir à son entourage et qui finira toujours aux bras de femmes mais terriblement seul.

La femme trompée est une victime malheureuse à qui on a menti, et qui finira par se sentir mal, seule, grosse et moche. Ne niez pas les filles, on est toutes passées par là. V'là la remise en question.

Je vous vois venir, Messieurs : En quoi est-ce toujours l'homme qui est infidèle ? J'ai jamais dit ça. Pour  l'avoir été moi même je confirme que les femmes sont tout aussi bien placées que les mecs pour aller voir ailleurs. Seulement là, relisez le titre, il me faut un schéma concret pour arriver à la fonte de cet article.

Donc. Passons aux choses sérieuses. Le RESSENTI.

Quand c'est toi qui trompe, tu n'a pas la sensation d'être irrésistible, non. Ni un dieu/déesse du sexe, loin de là. Tu vis dans le stress de tes conneries (du moins pour ma part), tu as peur 24/24 que ta moitié découvre ce qu'il se passe en dehors du lit conjugal, et finalement tu grilles du cerveau. Et pourtant, c'est un besoin irrépressible que de continuer à vaquer de bouche en bouche et de pénis en pénis. Âmes sensibles veuillez quitter la page.
Ta vie de couple en pâti, il est vrai, car comme tu es stressé, tu communiques ton stress à l'autre et finalement rien ne vas plus. 
Ces dires n'engagent que moi. J'ai eu connu des personnes tellement à l'aise avec cette situation que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes du début jusqu'à la fin. Mais pour ma part, avec mes vieilles valeurs fleur-bleue de l'ancien siècle, amour, fidélité, soutien et maternisation du couple, ben forcément ça passait pas. Et pourtant, ça a bien fini par se passer, preuve qu'il y avait quelque chose qui ne se passait pas bien. Bref. A l'homme de l'ombre de cette période, si tu me lis, prends soin de toi :P

Quand c'est toi qui est trompé, tu as deux solutions : soit tu es un/une AVEUGLE de l'amour toujours, et dans ce cas tu ne te rendras jamais compte de rien (grand bien te fasse, tu fais partie de cette population de bien-heureux constants que j'envie depuis mon plus jeune âge), soit tu fais partie de la partie je-sens-que-quelque-chose-ne-vas-pas-et-je-vais-bientôt-avoir-mal-comme-jamais, et là, c'est le drame.
Déjà, la confiance cesse de régner comme Simba sur le gros caillou de la savane, puis les questions, les doutes surviennent et commencent à te prendre la tête. Bientôt, tu finiras parano et psychotique, tu ne supporteras plus du tout la présence d'une fille dans la même pièce que ton couple puisque c'est obligé que monsieur finisse au pieu avec puisqu'elle sera toujours-plus-attrayante-que-toi, petit laideron sans vergogne et sans cerveau, sans sourire et sans sympathie.

Parce que voilà. Généralement, savez-vous pourquoi l'homme ou la femme trompent ?
Oui ? Non ? Tu te poses la question ? Mam'zelle Cox est là pour remédier à ton problème.

Qu'est-ce qui attire l'infidèle vers l'homme ou la femme de l'ombre ?

C'est bien simple. C'est même pas une question de routine. Ni une question d'âge d'ailleurs. Ni d'expérience. Alors quoi ?


  • Il se passe des choses dans le couple, qui font qu'au bout d'un moment, tu vis sur tes acquis. A savoir qu'inconsciemment, tu cesses de te montrer sous ton plus beau jour. Un peu moins de sexe, beaucoup de laisser aller, et si tu as envie de faire la gueule, tu la fait.
  • De ce fait découle irrémédiablement la désexualisation de l'autre. Tu n'es plus un couple mais deux personnes complémentaires qui vivent sous le même toit (ou même pas) mais qui n'ont plus forcément d'attirance physique. Et là, c'est le drame. Soit tu ripostes et tu luttes contre ta baisse de libido, soit t'es cuit. Et si tu es tombé sur un fidèle, coup de bol, mais pour les autres...


Alors voilà. La plupart du temps, la désexualisation du couple est la guillotine de la relation. Mais pas nécessairement ! 
Il y a moult facteurs qui viendront accroître cette envie suspecte d'aller voir ailleurs :

  • Quand le respect de l'autre n'est plus : Il/Elle te parle comme si tu n'était qu'un subtil étron sur le chemin de sa vie, et finira forcément par te marcher dessus.
  • Tu n'es plus assez bien pour obtenir un sourire franc et sincère.
  • Son regard sur toi ne pétille plus et ne contient plus une once de désir.
  • En bref, tu es là pour le/la nourrir et lui tenir compagnie.

Et maintenant, la question qui suis est forcément la suivante : Qu'est-ce qu'elle a de plus que moi ?

Rien. Rien de rien. Elle a juste l'attrait de la nouveauté et de l'interdit. Elle n'est que le passe-temps et l'objet sexuel de ton homme la plupart du temps.
Elle sourit. Elle papote. Elle écarte les jambes. Elle ne lui prend pas la tête, puisqu'elle n'a pas la chance de le voir assez souvent pour avoir le temps de le faire.

Être la femme de l'ombre provoque des sensations particulières. Du genre de celles dont on est pas sûre qu'elle soient bien ou mal. 
Bon, il faut le dire, la plupart des femmes de l'ombre ne savent pas qu'elles le sont. Dans ce cas là, elles sont tout autant victimes de la machination qu'a opéré l'homme-traître.
Mais, ça fait quoi d'être au courant et de devenir femme de l'ombre avec son bon vouloir ?

Et bien, il faut le dire, ça a son charme. On a l'impression d'avoir le pouvoir sur l'autre fille. D'être au final l'idéal féminin de Monsieur quand on l'écoute. D'être à la fois la pécheresse et la confidente. 
Mais non. Parce qu'au final on est que la numéro 2.

  • Celle avec qui il ne sera jamais. 
  • Celle qui ne sera jamais assez belle, forte, intelligente pour devenir la numéro 1. 
  • Et la numéro 1, elle le restera. Et on le sait très bien, parce qu'il n'a strictement jamais été question de quoi que ce soit de romanesque ni de romantique.

Bizarrement, c'est finalement plus inconfortable d'être la femme de l'ombre que la femme du jour. Parce que même si l'espoir fait vivre, les choses sont ce qu'elles sont, et la femme de l'ombre se résigne à accepter les termes du contrat tout en espérant que ses désillusions deviennent utopie. 
Gare à toi, femme de l'ombre ! Tu couineras 5 minutes de temps en temps, mais n'oublies pas qu'au final, ce n'est pas toi qui aura droit aux amoureux câlins, ni au moindre geste tendre, et encore moins au bonheur de dormir dans ses bras. Sans parler du minimum de culpabilité que tu ressens vis-à-vis de la numéro 1 si tu es ne serait-ce qu'un tout petit peu humaine.

En conclusion donc, être la femme de l'ombre n'apporte rien de bien folichon sinon de prendre son pied de temps en temps. C'est juste un caprice, juste la sensation de pouvoir plaire un petit peu à quelqu'un qui n'est pas censé être attiré par le monde extérieur. C'est égoïste et cruel. Mais qu'est-ce que c'est bon...

Votre toute dévouée.


12.7.13

La parfaite petite petite.

Le monde n'a jamais été fait pour les petits. Ni pour les très grands d'ailleurs. Le monde est conçu pour les moyens normaux.

Les petits et petites ont la vie dure. Moult expressions débiles et adjectifs désopilants sont utilisés pour nous décrire : naine, minus, demie portion, quart de portion, microbe, moustique, globule (mon préféré !), petite troll, hobbit et autres crevettes nous sont balancés à longueur de journée.

Mais faut l'avouer, c'est plutôt chouette d'être petite (pour les filles en tout cas). On nous prend en sympathie le plus souvent, même si on nous marche dessus "Oops, j't'avais pas vue" !

C'est tout de même plus pratique d'être petit que grand, parce qu'au moins quoi qu'on fasse, on peut toujours changer de hauteur. Les moindres marche, escabeau, chaussure à talon, chaise ou autre réhausse-nain nous permettent d'arriver à nos fins. Et si quand bien même nous ne parvenions pas à l'objet de notre convoitise, un grand qui passe par là sera bien vite charmé par nos grands yeux ébahis devant tant de grandeur (et décadence).

Nous autres, petites, avons quelques armes pour tromper l'ennemi et nous démarquer des moyens normaux.


  • Le sourire : toujours sur les lèvres, il permet d'attirer sympathie et coup de main si besoin.
  • Les yeux : grand ouverts et papillonnants, ils attirent l'oeil, et le coeur de temps à autre.
  • La voix : A défaut de se faire voir, on peut toujours se faire entendre et s'exprimer de la plus claire et déstabilisante des façons. 
  • Le franc-parler : Allant de paire avec la voix, il déstabilise et, croisé avec le vocabulaire et le cynisme, il permet de se faire comprendre et détester.
  • L'énergie : généralement débordante, nos brusqueries heurtent les moyens-normaux et nous permettent d'atteindre le pouvoir en réalisant les tâches des moyens-normaux plus rapidement et en brassant moins d'air, car moins de prise au vent.
  • La détermination : faut faire ses preuves auprès des grands et moyens-normaux. Ils se croient toujours plus forts que nous. FAUX ! C'est en rentrant dans le lard avec conviction qu'on obtient ce qu'on veut ! Et nous autres petits sommes experts en la matière.
  • La pointe des pieds : L'expérience de la pointe des pieds nous confère, à nous autres, petits, une aisance dans l'équilibre de l'axe pointe-extrême-du-gros-orteil-gauche/pointe-extrême-de-l'index-droit. Et qui plus est, on a toujours les mollets plus musclés, de ce fait.
  • L'extrême : Quand on vit, on vit souvent plus vrai : on pleure pour de vrai, on rit pour de vrai, on gueule pour de vrai. On aime pour de vrai, on respecte pour de vrai, on envoie chier pour de vrai. et on n'a qu'une parole. Bref, on ne fait pas les choses à moitié.
Enfin pour certains. Mais de tous les vrais petites et petits que j'ai rencontré, la grande majorité suivait à peu près ce schéma là.

Alors ok, les grands et moyens-normaux nous en mettent plein la tête quand ils nous voient nous percher sur une chaise pour attraper les shoko-bons au dessus du frigo. Mais bon, comme disaient la plupart de nos mamies, tout ce qui est petit est mignon (argh.) Ainsi que ma mère qui eût évoqué un expression qui ressemblait à : "le monde est divisé en deux parties : les petits et les cons." 
Cela dit, si vous êtes un vrai petit, un hargneux comme on les aime, vous courrez vite. Alors quand vous expliquez à un grand en quoi se divise le monde, servez-vous en ! 

Votre toute dévouée.

2.7.13

J'ai testé pour vous : Perdre 15 Kg, ça change quoi ?

Bon, la vie est belle quand on est une petite grosse bien flasque, sauf qu'il vient toujours un moment où yenamarre.

Mon problème vient de ma fâcheuse tendance à faire le MEGA yoyo, à savoir prendre et perdre entre 10 et 15 kg, tous les deux ans je dirais :)

Pourquoi donc ? 

Deux ans est la durée moyenne de mes histoires d'amour, stressantes pour la plupart, et le stress me fait gonfler, CQFD.

Les gens mal intentionnés me diront que je me relâche plutôt, sauf que, FAUX ! je ne change rien entre les +15 et les -15, à part le fait d'être, ou non, en couple. A part le fait de devoir me défouler suite à la rupture et donc, me mettre à courir cul-nu dans la montagne. 

Toujours est il que perdre 15 Kg, quand on fait comme moi 1,60m, ça choque l'entourage, et provoque énormément de changement.

Alors, quel effet ça fait, de perdre 15Kg ? (ceci est une question récidiviste avec le "COMMENT T'AS FAIT POUR FONDRE COMME CA BORDEEEEEL ?" habituel.)

Et bien, déjà, on se sent plus légère. Pas seulement physiquement, mais aussi mentalement. Faut savoir (pour le bon nombre de mes copines maigrichonnes) que quand tu te traînes un surpoids aussi énorme, les gens te regardent avec une pointe de dégoût et de pitié quand tu tombes le pull parce que tu cuit dans ta graisse. ------> Confiance en soi inside, of course !

Donc, la perte fulgurante change le regard des gens sur ta personne. Celui des hommes surtout. Tout de suite, on te regarde beaucoup moins dans les yeux. 
Tu as le droit à des "t'es bonne en fait" venant de gens qui ne te parlaient jamais auparavant.
Les inconnus dans la rue te matent avec un sourire qui en dit long. Ca non plus ça n'arrive jamais dans les périodes +15.

Ta vie sociale semble décuplée, tu vis avec un bien être intérieur digne de Bouddha dans sa grande période, le shopping est beaucoup plus aisé quand tu rentres sans galérer dans un 38, et tu te sens la puissance de porter tout ce que tu voulais depuis un moment.

La période -15 a pourtant pas mal d'inconvénients à notifier également.

Même si certaines personnes gentilles te diront qu'il vaut mieux ça que l'inverse, c'est relativement perturbant tout de même. Petit listing : 


  • Déjà, quand tu perds comme moi à vitesse grand V, tu changes de taille toutes les 2 semaines, donc voilà le budget fringues ! 
  • Tu perds trop vite, donc la peau n'a pas forcément le temps de suivre. bonjour le surplus ! So Sex !
  • Dans ta tête, tu restes longtemps la petite grosse de 80 kg, donc tu as encore des réflexes étranges.
  • Quand un bonhomme que tu ne connaissait pas avant ta période -15 te fais un compliment, tu ne sais pas si c'est du lard ou du cochon.
  • Certaines filles se mettent à te détester du jour au lendemain sans raison apparente. 
  • D'autres se mettent à avoir peur inopinément quand tu parles à leur copain alors que ça ne les dérangeait absolument pas avant.
  • Tes seins réduisent à la vitesse de la lumière, c'est chiant.
  • Les gens psychotent et ne cessent de te demander si tu manges, si tu vas bien et que si tu as des problèmes, tu peux en parler. Psy gratos à volonté héhéhé ! 
  • Et, de ce fait, découle un mouvement étrange de panique et de prévention quand tu n'as pas faim : "Mais manges bordel !" C'est rigolo. D'autant qu'avant, personne n'allait oser te dire ça.
Bref. Voilà ce que ça change. Bon, après, ya des choses qui restent les mêmes hein. Votre tête, votre débilité, votre énergie ! 

Alors, pour ceux qui se posent la question récidiviste numéro 2 : Je n'ai rien changé à mon alimentation, je ne fais pas plus de sport qu'avant (sauf peut être le sport de chambre, et encore) j'ai juste retrouvé ma liberté et la paix intérieure ! 

Votre toute dévouée.