25.9.13

Salut Térus ! Ou l'hypersexualisation Médiatique au coeur de notre nouvelle société.

Des siècles que ça dure. On le sait tous. La femme et l'homme naissent libres et égaux en droit. Enfin, en théorie.

Ca fait quand même quelques temps que les femmes se battent pour l'égalité des sexes. Alors justement, on a bien dit l'égalité. Donc d'où provient ce mouvement féministe qui prône le pouvoir au féminin avançant l'argument que la Femme est en tout point supérieure à l'Homme, du fait qu'elle possède une paire d'ovaires, et un utérus, et la possibilité de donner la vie ?

Hum'Oui. Sauf qu'en se remémorant les cours d'éducation sexuelle (c'est fort loin je vous l'accorde), il me semble (sauf erreur de ma part), qu'afin de créer une division cellulaire capable de se transformer en foetus, il faut deux types de gamètes : un ovule, certes, mais également un spermatozoïde. Enfin c'est à une vache près, c'est pas franchement une science exacte. . . 

Donc, certes, l'homme ne ferait rien sans la femme, mais la femme ne ferait rien sans l'homme non plus. 

Il y a un mouvement étrange qui se propage pourtant de plus en plus et qu'il est aisé de constater si on fait un peu attention à la presse féminine. C'est l'hypersexualisation de la femme, qui aboutit nécessairement à l'objetisation de l'homme. 

Je ne sais pas si vous avez fait attention, mais l'homme devient le joujou sexuel de la femme depuis quelque temps. Si on lit les "articles de fond" de cette presse féminine, on arrive très souvent au fait que l'homme n'est plus considéré comme une personne humaine douée de sentiments et de réflexion, mais bel et bien comme un SexToy à part entière. 

Si on fait un bref retour dans la presse d' il y a encore 5 ou 6 ans, la libération sexuelle et médiatique de la femme commençait tout juste. Les Sexfriends n'existaient pas, La première fois était tout sauf un rite de passage et si on en croyait les Madames qui se chargeaient de la rédaction des articles desdits magazines, l'orgasme féminin était quelque chose de rare et il fallait quelques années de recherche avec le même bonhomme pour arriver à y mettre le doigt dessus ! 

Désormais, Le sextoy vous permet d'apprendre à atteindre l'orgasme, l'homme n'est plus que de passage, l'amour se fait rare et le seul attrait que ces messieurs puissent vous apporter n'est que l'augmentation du taux de confiance en soi après chaque rapport sexuel. Et cette augmentation ne fera office que de palier pour vous projeter dans les bras du suivant. 

D'après les statistiques, "Contrairement aux idées reçues, la moyenne d'âge du premier rapport sexuel n'a pas bougé ces deux dernières années. Il est toujours de 17,2 ans pour les garçons et de 17,6 ans pour les filles au 1er janvier 2013."
Sauf que : d'après d'autres sources (étude Durex 2012), en France, l'âge moyen du premier rapport sexuel est de 16,8 ans, et près de 27% des jeunes ont une activité sexuelle avant 16 ans. 

Il n'y a que chez moi que ça tique où alors il y a un truc qui cloche ?

De plus, il faut croire que l'éducation sexuelle ne suit pas le mouvement. En effet, si la hausse du taux de rapports sexuels chez les individus âgés de 16 à 24 ans se fait clairement ressentir dans les médias, il se fait également ressentir dans les cliniques et hôpitaux, avec une moyenne de 27 avortements pour 1000 femmes chaque année, avec une forte hausse de la tranche 15-17 ans, et, par dessus tout, un total de 848 jeunes filles de moins de 14 ans rien que pour la région parisienne en 2012.

Certes, que la société évolue sur la médiatisation du sexe chez la femme, soit. Mais il faudrait aussi que l'éducation nationale et les parents suivent cette évolution en informant beaucoup plus sa jeunesse sur les risques et la contraception. Car même si notre cher gouvernement nous assaille de publicités et de sites internet visant à informer les jeunes et les moins jeunes, C'est à nous, adultes informés (parents, professeurs, grands frères et grandes soeurs, oncles et tantes et autres personnes de confiance), de passer le flambeau à notre jeunesse plutôt que de la laisser sombrer dans le risque perpétuel du rapport non protégé.

Le sexe prend une place de plus en plus large dans notre société et fait vendre, nous en conviendront tous. Même si c'est un fort agréable passe temps, il faut quand même se rendre à l'évidence que comme tout passe temps, il comporte des risques. 
Bon, après je ne vous dit pas non plus qu'il faut prôner l'abstinence jusqu'au mariage, cela ferait de moi la plus grande des hypocrites. Et je ne dis pas non plus qu'il faut faire machine arrière dans la révolution sexuelle nouvelle génération. Mais pensez à vos enfants qui deviendront des nids à MST à peine âgés d'une dizaine d'année !


Votre toute dévouée.

 Pas de capote, pas de carotte ! 

20.9.13

Le changement, c'est maintenant.

Du changement, comme s'il en pleuvait.

Que ce soit dans notre façon d'être, dans notre tête, notre look ou encore tout simplement dans notre vie, tout n'est que perpétuel changement.
On change de région, d'amis, de sorties, on change de travail, de coupe de cheveux ou encore de chaussures.

Le changement fait pourtant peur à beaucoup de monde. Parce que c'est l'inconnu, parce que c'est difficile à admettre ou encore pour bon nombre de raisons qui pourraient nous inciter à y renoncer. 

La plupart du temps, le changement est un CHOIX. Et s'il a été choisi, il est généralement bénéfique. Mais alors, il fait PEUR.


  • Peur de ne pas y arriver
  • Peur de se tromper
  • Peur de décevoir
  • Peur d'être déçu . . .
Et la peur nous paralyse, c'est bien connu. Pourtant, les bénéfices à tirer du changement sont bel et bien là. 
Je ne sais pas si vous avez déjà remarqué, mais quand la décision du changement s'impose à vous, vous avez tendance à faire un pas en avant, puis deux pas en arrière.
Trouvons un exemple concret qui puisse nous permettre d'imager ces propos.

Changer de région : 
  • Je vais voir du pays
  • ---> oui mais je ne connaîtrais personne
  • Je vais me faire des nouveaux amis
  • ---> mais il faudra que j'apprenne à connaître les lieux où je vais pouvoir les rencontrer
  • Je vais pouvoir tout recommencer à zéro
  • ---> mais je vais devoir tout recommencer à zéro . . .
Verdict : oui mais non, je veux mais j'ai peur, et pour une bonne majorité de gens cela va irrémédiablement donner lieu à un refus de prendre un risque puisque tétanisée par l'inconnu.

Un autre exemple plus simple maintenant : Passer chez le coiffeur.

La plupart des gens font ça machinalement, et regrette amèrement leur choix de coiffeur quand "Oh mon dieu elle a coupé 5cm de trooooop j'y remettrais plus les pieds !"
Oui mais : Vous repartez le cheveux plus court, certes, mais aussi en meilleure santé. Ca change votre visage et puis finalement vous vous y faites. Et pour finir, si jamais vous ne vous y faites pas, il faut se dire que le cheveu repousse.

Le fait que vos cheveux repousse signifie, dans cette pauvre métaphore, que le choix a été fait, mais qu'un échec n'est pas toujours un échec. Rien n'est définitif dans la vie, sinon la mort. 
Vous n'avez qu'à vous dire qu'une erreur a été commise, mais qu'en revanche vous avez grandi de votre expérience. Positivez, l'effet papillon n'est pas loin. On n'est jamais à l'abri d'un revirement de situation et donc d'une amélioration.

Et puis, si vous changez de région et que vous ne vous y faites pas, rien ne vous empêche de retourner là d'où vous venez. Et dans ce cas vous aurez compris que vous n'êtes partis que pour mieux revenir :)

N'oubliez pas que chaque expérience est bonne à prendre et que l'erreur est humaine. Vous aurez moins peur d'avancer, et aussi d'affronter le changement avec conviction pour enfin accéder au bonheur qui découle d'une décision réfléchie et positive.

Votre toute dévouée

19.9.13

P***** de Page Blanche / La recherche désespérante du sujet qui débloquera l'auteur atrophié.

Ya comme qui dirait un bail que j'n'ai plus rien pondu. C'est pas faute d'avoir essayé, chers lecteurs et lectrices en furie. 

Ô, qu'il a pu s'en passer des choses dans la vie de cette décadente demoiselle qui s'obstine à coller explications sur tout ce qui se passe autour d'elle, comme s'il y avait grand besoin de raison pour se comporter comme on le fait. Bref, je m'égare.

J'ai eu beau tenter de trouver sujet, et croyez moi pourtant, il y en a eu des sujets depuis le mois de juillet, j'ai eu beau, rien n'y a fait. Impossible de se délier les doigts. Une espèce de blocage (ça m'arrive régulièrement pour ceux qui auraient suivi les blogs précédents, et ça nous arrive à TOUS) . . .

Voilà déjà quatre fois que je recommence ce paragraphe. Ya rien qui va les amis. La mort dans l'âme, je me laisse aller sur ma page Blogger dans le but encore non atteint de parvenir à pondre un article. Mais rien ne vient. D'où vient ce fichtreux blocage ? 
Il y a déjà eu moult crises toujours résolues, (merci la SuperTechniqueDeLaCitationQuiTue), or là, il n'y a rien à faire. 

-J'eû tentativé d'écrire pour mon compte personnel afin de réactiver le processus
--->Echec.
-J'eû tentativé de lancer des débats afin de lancer le sujet et de l'alimenter pour ensuite tenter de gribouiller ---> Echec.
-J'eû tentativé de me lancer dans la recherche de jeux amusants afin de pouvoir conter quelques frasques désopilantes ----> Echec.

behance.net, A. Coquet


Faut dire aussi qu'on se limite pour ne pas offenser la galerie. Faut savoir que la galerie ayant normalement interdiction de censure, je devrais pouvoir conter tout et n'importe quoi ici-bas qui me permette de lancer le truc. Mais bon, si jamais la galerie se pointe, voit, lit les trucs rigolos que je recherche activement, il va se passer quoi ? A priori, pas de censure à l'horizon. Mais sait on jamais ?

Bon, non pas que je me lance, aruspice, à corps perdu dans les aspects décadents de notre société afin de les analyser comme il se doit, mais il est vrai qu'il m'est arrivé de me mordre les doigts (et que mon entourage se les morde aussi) dans le but non avoué de nourrir mon envie irrépressible de faire des conneries pour avoir l'occasion de les justifier par écrit par la suite. 

Vous suivez ?

Croyez-vous qu'on fasse des conneries pour se construire ou encore pour avoir de quoi parler ? Où alors on les fait juste pour nous divertir sur le coup, puis on se sent dans l'obligation de se justifier tout de suite après ?
Se doit on également de coller au script ou encore pouvons nous nous permettre de partir en vrille afin de nourrir quelques papelards vicieux pour se raconter qu'on a une vie plus intéressante ?

Ce que nous considérons comme conneries du passé nous construit, nous permet de nous forger un caractère, une personnalité et une faculté à regarder le chaos dans les yeux et lui dire d'aller se faire f*****. . .
Les gens auront beau te dire "Tu as fait des conneries, mais c'est du passé, on n'en parle plus", moi je continuerai de leur répondre que "Effectivement j'ai fait des conneries, mais mon passé fait partie intégrante de moi, on m'accepte avec où on me rejette avec ! Faudra faire un choix mais ça ne sera définitivement pas possible de choisir entre les deux."

Paulo Coelho a dit  : "Ce n'est pas le plongeon qui noie quelqu'un, mais le fait de rester sous l'eau"

Du coup, comme il est pas bête, ce monsieur, je traduirais qu'en fait, du moment qu'on en tire de quoi avancer, les conneries ne nous tuent pas, et ne nous font même pas reculer !

Allez, chers amis, lecteurs et lectrices en furie, La machine est lancée, et je vous souhaite une bonne journée :)

Votre toute dévouée.